Nacarat et Odalys signent le protocole de prise de bail de la tour Saint Jean à Bordeaux

D’ici la fin de l’année 2017, le quartier de la gare à Bordeaux accueillera la Tour Saint-Jean, une résidence étudiante et hôtelière de 18 étages proposant une surface habitable de 2 200 m². Un projet emblématique de par ses 61 mètres de hauteur et son architecture élancée.

Réalisée par le promoteur immobilier Nacarat, qui a collaboré pour l’occasion avec l’architecte Jacques Ferrier, la Tour Saint-Jean se situera à la lisière de l’opération d’intérêt national Euratlantique visant à aménager les espaces situés autour de la gare Saint-Jean.

90 logements étudiants exploités par Odalys

Le 4 décembre 2014, à l’occasion du SIMI (Salon de l’immobilier d’entreprise), Nacarat et Odalys ont signé le protocole de prise de bail de la Tour Saint-Jean à Bordeaux. Une réalisation qui abritera 90 logements étudiants, du studio au T3, exploités par Odalys.

Le début prévisionnel des travaux, réalisés sur une parcelle achetée à Domofrance, est fixé début 2016, pour une livraison prévisionnelle en septembre 2017, juste avant la rentrée étudiante. Pour réaliser ce projet, Nacarat s’est entouré de partenaires tels que AIA Ingénierie (bureau d’étude de structure), AIA Management (Maîtrise d’oeuvre), Math Ingénierie (Bureau d’Etudes Fluides Thermiques), et Bureau Veritas (bureau contrôle technique et coordinateur de sécurité).

La Tour Saint-Jean, repère charnière entre coeur de ville historique et extension urbaine

Alors que la géographie bordelaise se caractérise par des surfaces planes et un urbanisme peu élevé, la pointe de la Tour Saint-Jean culminera à 61 mètres. Une hauteur justifiée par l’obligation de réaliser le programme sur une parcelle au sol inférieure à 300 m².

Comme le souligne l’architecte Jacques Ferrier, « La hauteur de la Tour Saint-Jean prend une signification urbaine évidente et crée un repère à la charnière entre le centre de la ville historique et l’extension urbaine en cours. Le bâtiment culmine à 61 m de hauteur. L’élancement de sa silhouette est accentué par la découpe de son volume en trois lames verticales qui se dressent à partir d’un socle minéral, largement vitré et ouvert sur la rue. La modénature de la façade joue sur la répétition de panneaux métalliques en camaïeu de couleurs claires et l’insertion croissante de panneaux miroir au fur et à mesure qu’elle s’élève.

La couronne du bâtiment reflète ainsi le ciel de Bordeaux et réfléchit la nuit les lumières de la ville. »