2 salariés sur 3 séduits par l'idée de financer les locaux de leur propre entreprise

Pour Carole Durif, DG et DRH de Bricks.co : « Trouver de nouveaux moyens d'engager les salariés dans la vie de l'entreprise est un vrai challenge pour chaque employeur. Leur permettre d'investir dans leurs propres locaux en avant-première, au-delà de la rentabilité financière, vient nourrir le sentiment d'appartenance et la conviction qu'ils contribuent directement à la réussite de leur entreprise. »

Pour Cédric O’Neill, Fondateur et dirigeant de Bricks.co : « Les entreprises ont rarement la possibilité de financer l'achat de locaux à 100% via des prêts bancaires, surtout dans le climat économique actuel. C’est pour cela que nous souhaitons proposer une nouvelle manière pour les entreprises et leurs salariés de financer collectivement leurs locaux professionnels. »

2 salariés sur 3 intéressés !

Participer au financement des bureaux de leur propre entreprise est une idée qui séduit plus de 62% des Français. Seulement 21% se déclarent opposés à ce genre de dispositif et 17% restent encore dans l’expectative.

A quel taux d’intérêt ?

Qui dit investissement, dit taux d’intérêt. Sur ce point, les avis divergent. Ainsi, 41% estiment que la rémunération d’un investissement en crowdfunding pour les bureaux de leur entreprise doit avoir un taux d’intérêt annuel compris entre 7 et 8% et 28% entre 5 et 6%. Enfin, en troisième choix, 26% optent pour un taux entre 9 et 10%.

Et pour combien de temps ?

Pour ce qui est de la durée de l’opération de financement, près de la moitié des salariés souhaite se voir rembourser le capital investi à l’issue d’une période comprise entre 3 et 4 ans.

1 salarié sur 2 prêt à évangéliser le crowdfunding immobilier

A la question « Seriez-vous prêt(e) à proposer à votre entreprise, cette innovation d'investissement dans vos propres bureaux ? », plus de 52% des salariés répondent par l’affirmative. 22% sont encore dans le doute et seulement 26% ne souhaitent pas promouvoir ce type de dispositif.

Des Français mieux informés…

En 2019, seulement 1/3 des Français connaissait le crowdfunding immobilier (sources OpinionWay). 4 ans plus tard, c’est plus de 53% des Français qui ont déjà entendu parler de ce mode d’investissement.

Et très intéressés !

L’investissement immobilier via des plateformes de crowdfunding séduit de plus en plus de Français. Ils sont aujourd’hui plus de 68% à déclarer être intéressés par le financement participatif. Une envie que seulement 13% ne partagent pas, alors que 19% se posent encore quelques questions…

Une démarche simple et rapide

L'entreprise souhaitant financer ses locaux par ses salariés peut soumettre sa demande sur le site bricks.co/porteurs-de-projet. Une fois la demande reçue, celle-ci sera minutieusement étudiée, et une réponse sera transmise à l'entreprise dans un délai de 10 jours ouvrés.

Si le dossier est validé, la campagne de financement est alors lancée sur la plateforme, et les salariés de l’entreprise peuvent participer au financement de leurs propres locaux.

Rappel : Investir en obligations comporte des risques de perte partielle ou totale du capital investi.

L’émetteur peut faire faillite. Le remboursement d’une obligation n’est donc jamais totalement garanti. En général, un taux d’intérêt élevé dénote un risque élevé.

Il est conseillé d’investir uniquement l’épargne dont on peut se passer sur plusieurs années et de diversifier ses placements.

*Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1.002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27.000 personnes en France). Le 9 octobre 2023, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées jusqu’au 16 octobre 2023 en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.