
Une croissance maîtrisée
Installée à Messimy, Parret :
- décline son expertise entre charpente (7 salariés pour un CA de 850 000 €) et menuiserie (CA de 350 000 € avec 5 salariés)
- réalise près de 400 chantiers par an.
Restées depuis toujours dans la même commune, les deux structures ont pourtant, faute de place, été contraintes de séparer physiquement les deux activités mais ses deux dirigeants, Laurent et Cyrille travaillent tout le temps ensemble. Et, ils l’affirment, c’est autant la qualité de leurs ouvrages et la disponibilité dont ils ont su faire preuve que :
- la transmission par leurs salariés de leurs savoirs,
- la confiance qu’on leur accorde renforcée encore par « le bouche à oreille » qui ont créé les conditions de leur pérennité et leur offrent la possibilité d’envisager l’avenir de façon sereine.

L’appui de la Capeb Rhône
Autre vecteur de réussite fortement souligné par Parret, leur adhésion il y a 70 ans à l’organisation la plus puissante du département.
Bien au-delà de leur volonté depuis plusieurs générations de s’impliquer sur le plan syndical et d’y trouver là le moyen de sortir de l’habituel isolement du chef d’entreprise, les deux cousins rappellent que le soutien de la Capeb Rhône leur a permis de suivre une formation à la direction d’entreprise mais aussi, au quotidien, de :
- rencontrer d’autres artisans pour échanger sur les bonnes pratiques,
- faire appel à elle pour de nombreux sujets techniques, juridiques, sociaux, administratifs,
- financiers…
- bénéficier de formations régulières, que ce soit pour :
- étoffer leurs expériences et enrichir leurs connaissances,
- s’adapter aux nouvelles réglementations,
- profiter de partenariats avec de nombreuses offres commerciales et remises importantes à la clé…
Fort de nombreuses références, les charpentes et menuiseries Parret se développent aujourd’hui tant sur les secteurs de la rénovation, de l’isolation que de la construction en ossature bois.
Ils célèbreront leur longévité, entourés de leurs collaborateurs, fournisseurs et partenaires le 23 juin.
Une seule question demeure : quelle date déjà bloquée pour le bicentenaire ?