Stéphane Cuzzaini : "Notre enjeu, proposer des choix pertinents tout en guidant vers nos solutions"
Stéphane Cuzzaini, professionnel chevronné chargé du quart Sud-Est de la France croit fermement en la solution Myral. Fort d'une quinzaine d'années d'expérience dans le bâtiment, a su développer une véritable expertise technique dans le domaine de l'ITE.
Quel parcours vous a mené jusqu’à Myral ?
Stéphane Cuzzaini : Au départ j’ai fait mes armes au sein de l’entreprise Onduline, qui conçoit des panneaux de couverture et de bardage, essentiellement à destination du marché tertiaire (bâtiments industriels, agricoles). Cette première expérience, qui a duré 6 ans, m’a permis de développer mon expertise dans le marché de l’ITE, en visitant de nombreux bureaux d’études notamment.
Les 8 années suivantes, j’ai travaillé pour Everlite Concept, société qui propose des bardages haut de gamme à l’aspect architectural marqué, dans un segment proche de celui de Myral. Durant cette période, j’ai participé à la rénovation énergétique de nombreux projets où l’apparence extérieure des bâtiments avait une grande importance : complexes sportifs, gymnases, écoles… Cela m’a permis d’effectuer un travail de prescription et de préconisation technique auprès des architectes souhaitant faire concorder leur vision avec des produits techniques. J’ai beaucoup apprécié ce travail de conseil et cette relation privilégiée que j’ai développée avec eux.
Quelles compétences majeures comptez-vous apporter à Myral ?
Stéphane Cuzzaini : D’abord, donc, ma capacité à accompagner la maîtrise d’œuvre sur les recommandations techniques. Mais aussi la relation avec les entreprises dans la mise en œuvre des produits. C’est une partie du travail que j’ai toujours réalisé. Chez Everlite, nous avions un bureau d’études, comme Myral, avec une personne qui pouvait se déplacer au cas-par-cas, pour autant, j’assistais moi-même beaucoup les poseurs. Je les accompagnais parfois en réunions de chantier quand il y avait des problématiques techniques, pour faire des démarrages de chantier, effectuer des diagnostics et apporter des conseils techniques… Pour moi, ce qui est important, c’est que la préconisation que j’apporte aux maîtres d’œuvre soit la plus pointue possible afin qu’elle puisse déboucher sur une réalisation pérenne et conforme à ce que j’ai proposé. L’assurance d’un rendu final de qualité, c’est participer à la renommée du produit et s’ouvrir à de nouvelles affaires.
Qu’attendent les maîtres d’œuvre d’un prescripteur ?
Stéphane Cuzzaini : Ils attendent des réponses à leurs différentes exigences et inspirations sans que l’on vienne remettre en cause leur vision. Après plusieurs années aux côtés des architectes, j’ai appris à faire preuve d’écoute et à m’adapter le plus fidèlement possible à leurs attentes, à « l’image architecturale » très particulière qu’ils ont de leur projet. Il faut être capable de la comprendre et de trouver des solutions adaptées à leurs désirs, et si ce n’est pas possible, trouver des alternatives efficaces qui ne trahissent pas leur signature. Leur proposer des choix qui fonctionnent tout en les guidant vers les solutions que l’on défend, c’est tout l’enjeu de notre métier !
Comment avez-vous connu le groupe Myral ?
Stéphane Cuzzaini : Je l’avais remarqué sur des salons professionnels. Ce qui m’avait plu c’était vraiment l’aspect visuel du produit et l’image architecturale qu’il proposait, avec de grands panneaux, une diversité d’aspects qui faisaient qu’on se demandait finalement ce que c’était ! Quand on voit l’effet aluminium brossé des panneaux « Alunatur » ou la surface parfaitement réfléchissante du « Poli Miroir », ça interpelle !
Ensuite, j’ai croisé Myral sur des affaires. Pour l’anecdote, à l’époque où je travaillais pour une société concurrente, je m’étais occupé de la recommandation technique pour l’habillage des balcons des tours « Les Moulins » à Nice. Et il se trouve que Myral travaillait sur ce même projet. Nous étions en concurrence sur la partie habillage des façades en bardages ITE et c’est Myral qui a été retenu car j’étais presque deux fois plus cher ! En m’y intéressant, j’ai découvert une belle entreprise qui proposait des produits innovants.
Justement, quel est le regard des clients et de la concurrence sur Myral et sa solution ?
Stéphane Cuzzaini : Il y a un retour positif, aussi bien de la part des clients, que des installateurs, des maîtres d’ouvrage et des architectes… Les installateurs privilégient des produits simples et rapides à mettre en œuvre ; les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, quant à eux, vont vouloir des produits performants, pas trop épais, esthétiques, mais aussi économiques d’un point de vue budgétaire… Dans tous ces cas de figure, la solution Myral répond parfaitement à leurs besoins spécifiques.
Le groupe est aussi reconnu comme un acteur avec une expertise technique de qualité. Sa façon d’accompagner les entreprises en amont et en aval des chantiers, sa capacité d’écoute, son rôle de conseil et la forte réactivité de ses équipes en cas de problème sont bien perçues. Toutefois, la notoriété du produit est encore jeune et il y a un important travail de communication à faire…
Selon votre regard, quelle est l’évolution du marché de l’ITE en France ?
Stéphane Cuzzaini : Je dirais que l’on est au début du développement. Sur le marché du résidentiel qui couvre les copropriétés et les bailleurs sociaux, il y a des besoins très importants. On sent d’ailleurs maintenant une réelle volonté de lutter contre les « passoires énergétiques ». Le gouvernement a depuis peu enclenché une dynamique pour développer massivement l’isolation thermique des façades par le biais d’aides financières. Il faut dire que l’ITE est la solution idéale pour obtenir des bâtiments les moins énergivores possibles et donc réduire les dépenses énergétiques des habitants, tout en apportant un confort thermique en hiver comme en été ! En plus, on préserve la surface habitable, les chantiers sont rapides et peuvent se faire en site occupé.
Et qu’en est-il des bâtiments publics et tertiaires ?
Stéphane Cuzzaini : Il y a encore beaucoup à faire aussi. Aujourd’hui, sur ce marché, la plupart des bâtiments neufs sont isolés par l’extérieur… Au-delà des considérations budgétaires et des capacités thermiques, pour faire la différence, il faut être en mesure d’apporter une réponse architecturale assez forte… C’est là que les revêtements Myral entrent en jeu : pose verticale, horizontale, oblique, aspect plan, joint creux ou joint debout, un riche catalogue de finitions et de coloris… La solution Myral se décline à travers toute une gamme de rendus capable de répondre aux différentes attentes en matière d’esthétique. Je suis persuadé que sur ce plan-là en particulier, notre produit a de grandes qualités et est promis à un bel avenir.
Quelle est le potentiel de votre région pour Myral ?
Stéphane Cuzzaini : J’ai la chance de couvrir le quart Sud-Est de la France, notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes qui est une belle région, très dynamique. On y trouve de gros projets et de gros acteurs du social, en particulier à Lyon… Mais je ne veux pas baser toute ma stratégie sur le social, car c’est ce que font tous nos concurrents. Je pense qu’il y a vraiment des opportunités intéressantes à saisir au niveau des marchés publics pour les écoles, les gymnases, les hôpitaux, les EHPAD… Il faut se diversifier et mener les deux de front : conserver notre position et notre part de marché sur le logement social, mais aussi aller sur le marché du tertiaire et des bâtiments publics, où l’image architecturale compte… Car je suis sincèrement convaincu qu’en terme d’esthétique, la solution Myral est capable d’apporter une vraie valeur ajoutée aux bâtiments.
En outre, je vais avoir un important travail de prescription à mettre en place dans le Sud, car le recours à l’ITE y est encore peu développé pour les bâtiments résidentiels alors qu’elle permet de réduire massivement les besoins en climatisation d’un logement…
Cela fait plus de deux mois que vous avez rejoint Myral. Comment avez-vous vécu votre arrivée ?
Stéphane Cuzzaini : Même si elle a été perturbée par la situation sanitaire que nous subissons, je l’ai vécu de façon très positive ! Il y a vraiment un bel esprit d’équipe. J’ai pu l’observer lors d’une réunion en mars à Paris où tous les prescripteurs et les membres de l’équipe technique étaient rassemblés. Il y avait belle osmose et un esprit très participatif : les échanges entre nous ont été très féconds, que ce soit sur les supports de communication, les références chantiers… Ce qui nous a permis de déboucher collectivement sur des solutions et des améliorations. J’avais très peu d’appréhension en entrant chez Myral, mais j’ai tout de même été agréablement surpris par le professionnalisme et l’humanité de mes nouveaux collègues.
Vous semblez confiant et enthousiaste de vous lancer dans cette aventure…
Stéphane Cuzzaini : Je suis confiant oui, car je crois fort en notre solution d’ITE. Dans mon métier de chargé d’affaires, la réussite est vraiment liée au fait d’avoir un bon produit auquel on croit, une solution technique qui puisse répondre à toutes les réglementations aussi bien au niveau du feu, de la sismique, au niveau du type de support, que ce soit le bois, le béton… Mais aussi une solution qui entre dans des contraintes budgétaires, tout en ne lésinant pas sur la qualité des matériaux et des rendus. Le produit Myral coche toutes ces cases… Et les marchés à conquérir sont nombreux ! Alors même si la période actuelle a mis à l’arrêt le secteur, que la reprise sera progressive, et que cela nous impose de travailler différemment, je reste enthousiaste !
Geoffrey Pointin : "Avec Myral j’ai tous les arguments pour répondre aux souhaits des architectes !"
Geoffrey Pointin, fort de ses nombreuses années d'expérience dans le métier de la prescription d'ITE, passionné d'architecture et de design compte bien asseoir la présence de Myral dans une zone géographique jusque-là peu investie par le groupe : le quart Sud-Ouest de la France.
Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre Myral ?
Geoffrey Pointin : Je suis dans le métier de la prescription depuis près de 15 ans. Si mon parcours professionnel est essentiellement tourné vers l’univers des façades et de l’isolation thermique, ce n’était pas le cas au tout départ. En effet, lorsque j’ai débuté dans l’entreprise Carea, mon rôle était de gérer des centrales d’achats pour vendre des éléments sanitaires aux grandes surfaces et grossiste de bricolage. Je suis entré dans la prescription d’ITE en accompagnant une collègue de l’époque dont c’était le métier ! Lorsque nous nous rendions chez les maîtres d’ouvrage, elle parlait des façades et moi de la partie sanitaire… Au fur et à mesure, passer du temps à ses côtés m’a permis de découvrir le métier de la prescription, pour lequel je me suis peu à peu passionné ! J’ai alors demandé à changer de métier et à intégrer l’équipe prescription d’ITE, où j’ai fait mes armes durant plusieurs années au contact de nombreux maîtres d’œuvre et d’ouvrage, membres de bureaux d’étude et architectes. Pendant cette période, notamment entre 2005 et 2012, j’ai eu la chance d’être sur un secteur parisien très porteur. En effet, c’était la « grande époque » des programmes en R.U. (renouvellement urbain), dont ceux de Paris intra-muros qui étaient importants en termes de volume, mais aussi très intéressants d’un point de vue architectural, parce qu’il y avait des moyens financiers… C’est une période durant laquelle j’ai pu travailler sur de très beaux projets architecturaux !
Justement, vous semblez avoir une sensibilité particulière pour l’architecture… D’où vous vient-elle et comment l’avez-vous développée ?
Geoffrey Pointin : J’ai toujours adoré le design et l’architecture, et même l’art en général. Au-delà du cadre professionnel, ce sont de vraies passions dans ma vie. J’ai des amis qui travaillent dans le design avec qui je passe souvent du temps, je me rends à de nombreuses expositions et j’ai la chance de voyager régulièrement, de découvrir des architectures incroyables et des projets fous sur certaines parties du globe. Au fil du temps, j’ai développé un œil acéré pour l’architecture qui m’est très utile dans mon métier de prescripteur. Il me permet d’avoir une « vision » et de saisir avec davantage de précision ce que souhaitent les architectes avec qui je collabore. Cette capacité à me projeter, je dirais que c’est ce qui fait ma particularité.
Comment parlez-vous à ces architectes et comment faites-vous en sorte de respecter leur signature architecturale ?
Geoffrey Pointin : Les clés ce sont : le terrain, la connaissance des dossiers locaux, la préparation des rendez-vous, la rigueur technique et une certaine capacité à se projeter, à traduire les désirs de l’architecte en solutions techniquement viables et adaptées à son projet, tout en respectant un maximum sa signature architecturale sur le plan esthétique… C’est comme ça que je vois le métier de la prescription et la relation que j’entretiens avec mes clients. En outre, ma stratégie c’est d’être présent à chaque moment, de proposer un accompagnement sur-mesure, d’être dans le conseil, la préconisation… Sans pour autant « piquer son crayon » à l’architecte ! Je fais tout mon possible pour aider ces derniers à faire de leurs projets couchés sur le papier une réalité conforme à leurs attentes, mais quand les contraintes sont trop nombreuses, mon travail m’impose aussi de savoir leur dire non et leur proposer les meilleures alternatives.
Comment avez-vous connu le groupe Myral et sa solution d’ITE ?
Geoffrey Pointin : Il y a quelques années, je me suis installé sur Brive-la-Gaillarde afin de travailler sur la région Sud-Ouest, avant de revenir faire des allers-retours hebdomadaires sur Paris. Et dès 2016, dans la Capitale, c’est simple : Myral était sur toutes les lèvres ! Je me suis rendu compte que les architectes parlaient énormément de la solution M32, vantant notamment sa vitesse de mise en œuvre, le fait qu’elle entre beaucoup plus facilement dans les budgets des maîtres d’ouvrage car plus économique, l’efficacité de son pouvoir isolant mêlé à la minceur record de ses panneaux… Et autant dire que j’étais bien embêté ! La solution Myral alignait tous les bons arguments, tandis que moi, chez Carea, je me retrouvais à devoir vendre une solution aux caractéristiques similaires, certes, mais bien plus chère : 30 euros du m² de plus en moyenne par rapport à ce produit. Donc quand on est sur Paris et qu’on a des dossiers qui ont entre 5 000 et 6 000 m² de façades à revêtir, si on multiplie par 30, le calcul est vite fait !
Qu’est-ce qui vous a conduit d’intégrer Myral ?
Geoffrey Pointin : Après plusieurs années, en tant que chef des ventes à gérer de grands comptes, j’avais le sentiment d’avoir fait le tour. L’échange avec Sylvain Bonnot (PDG du groupe Myral) a fait pencher la balance. J’étais déjà convaincu du produit et nous avons évoqué un poste où je pouvais avoir l’assurance de bénéficier d’un budget et du soutien de la hiérarchie pour développer la prescription dans ma zone géographique et une grande liberté d’action. En plus, j’étais très rassuré du fait que le patron affiche une vision et un cap, qu’il sache clairement où il veut mener l’entreprise. Le pôle R&D de Myral fournit aussi un travail remarquable, notamment autour du risque incendie et des démarches environnementales, qui sont impératives à prendre en compte aujourd’hui. Globalement le groupe nourrit de très belles ambitions et va, selon moi, dans le bon sens.
Du coup, quand vous êtes entré dans la société il y a un peu plus d’un mois, avez-vous été conforté dans ce choix ?
Geoffrey Pointin : Oui pas de surprise : c’est 100 % conforme à l’image humaine et professionnelle que je m’en faisais. Ce que je trouve génial avec Myral, c’est que c’est un groupe français avec un site de production basé en France, à Is-sur-Tille en Côte-d’Or. Nos lignes de production sont assez high-techs, avec une réflexion de fabrication qui est assez pertinente… Nous n’avons vraiment pas à rougir de notre solution et de nos infrastructures : je sais d’ores-et-déjà que je pourrais faire visiter une belle usine à des maîtres d’ouvrage français et leur présenter un produit innovant. Sans plébisciter Myral outre-mesure, il n’y a pas beaucoup de sociétés capables de proposer cela. En outre, bien que ce soit une « petite » entreprise, le groupe est bien structuré. Ses équipes, notamment celle chargée de la prescription, sont solidement mises en place et font preuve d’un grand professionnalisme : j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en allant tourner avec Pierre Guerrero (chargé de prescription dans le Grand-Est et l’Île-de-France). Au-delà de la très bonne entente qui est née entre nous lors de ce déplacement, sa connaissance impressionnante du métier m’a aussi marqué. Bref, même si je n’avais pas d’appréhension particulière avant mon entrée chez Myral, tout ça est très rassurant.
Quel est le potentiel de développement dans votre secteur géographique : le Sud-Ouest de la France ?
Geoffrey Pointin : Il y a encore tout à faire ! Dans le Sud-Ouest comme partout en France, le parc de réhabilitation de logements est énorme, le marché est donc très porteur pour le prescripteur d’ITE que je suis. Chez Myral nous avons un très bon positionnement pour ce qui est de la rénovation : nous proposons des bardages parmi les moins chers du marché et les plus rapides à mettre en œuvre. Au niveau du prix fourniture et pose, nos revêtements de façades se rapprochent de l’enduit mince sur isolant, notamment du fait de l’absence d’ossature, mais évidemment avec une pérennité, un rendu esthétique et une image architecturale sans commune mesure !
Et en ce qui concerne la construction dans le neuf ?
Geoffrey Pointin : Le potentiel-marché est tout aussi important. Bordeaux et Toulouse, les deux principaux centres urbains de mon secteur géographique, sont des villes réputées en France pour être attractives et attirer beaucoup de nouveaux habitants, par conséquent, un grand nombre de bâtiments neufs vont y être bâtis… Et je sais que grâce à la solution Myral, j’aurai tous les arguments pour me positionner sur ces nouveaux projets.
Enfin, il y a des secteurs sur lesquels le groupe est encore très peu positionné, comme celui des bâtiments tertiaires. Je compte bien développer notre présence sur cette typologie de chantier, au même titre que les bâtiments publics et les logements individuels/collectifs, car là-aussi, le champ de développement est très important.
À vous entendre, vous semblez assez confiant et déterminé !
Geoffrey Pointin : Le métier de la prescription est exigeant certes, mais aussi très passionnant car nous avons la chance de rencontrer des gens différents tous les jours, de participer à de beaux projets auprès d’architectes talentueux. Comme je l’ai déjà dit plus tôt, le marché de l’ITE a de beaux jours devant lui partout en France, notamment dans le Sud-Ouest. Étant le premier chargé de prescription Myral assigné à cette zone géographique, le « territoire » est donc tout entier à conquérir ! Les perspectives sont vraiment enthousiasmantes et je suis d’autant plus motivé que j’ai entre les mains un produit en lequel je crois. J’ai la certitude de posséder toute une panoplie de vrais arguments pour répondre aux besoins et aux exigences des architectes, sur les plans technique, esthétique, économique, avec en plus une production Made in France : un argument qui compte à l’heure où la reprise économique post-Covid19 viendra du soutien aux entreprises nationales. D’ailleurs, j’invite les acteurs de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre du Sud-Ouest à visiter notre usine !