Dans l’Hexagone, ce sont donc 9 personnes sur 10 qui respirent un air contenant un niveau élevé de polluants[2], donnant lieu à de nombreuses pathologies.
Et s’il est urgent d’alerter sur cet enjeu de santé publique, le risque de dégât aux bâtiments lié à l’humidité doit également bénéficier d’une attention accrue.
De grands enjeux sur lesquels alerte Murprotec, leader européen du traitement définitif contre l’humidité et la pollution de l’air intérieur, dont l’engagement RSE vise à permettre à chacun de respirer un air sain dans un bâtiment sain.
Faire de la pollution de l’air intérieur un enjeu de santé publique
En France, alors que 90% de la vie se déroule en intérieur[3] – du domicile au bureau en par les établissements publics et privés –, ce ne sont pas moins de 9 personnes sur 10 qui respirent un air intérieur contenant des niveaux élevés de polluants, engendrant 20.000 décès prématurés par an[4]. A l’échelle mondiale, ce chiffre s’élève chaque année à près de 4 millions d’individus.
Un constat alarmant dû aux nombreuses pathologies générées par cette altération de l’air intérieur : allergies respiratoires et cutanées, asthme, cancers pulmonaires ou encore AVC... Ainsi, lorsqu’habiter au sein d’un logement humide ou au contact de moisissures augmente de 40% le risque de contracter de l’asthme[5], une cohabitation avec des acariens génère quant à elle 70% des allergies[6]. Chez l’enfant de moins de 5 ans, 50% des décès par pneumonie sont par ailleurs directement liés à l’inhalation de matières particulaires en intérieur[7].
En cause, l’infiltration de molécules polluantes telles que le radon[8] ou le formaldéhyde[9] émanant directement des trafics routier, usines voisines, peintures, appareils de chauffage et produits d’entretiens ; autant d’agents à même de provoquer le « Syndrome du Bâtiment Malsain ».
Être informé est donc indispensable pour prendre les mesures nécessaires, tant à l’échelle individuelle que collective. C’est pourquoi Murprotec, groupe spécialisé dans le diagnostic des bâtiments, s’est donné pour mission de sensibiliser l’opinion publique aux risques sanitaires liés à la pollution intérieure.
Alerter sur les dégâts aux bâtiments provoqués par l’humidité
S’il est impacté par les activités humaines et matériaux polluants, l’air intérieur subit par ailleurs les conséquences d’une humidité ambiante provoquée notamment par des constructions en zones humides, des sols argileux ou, tout simplement, un manque d’entretien.
Et si les moisissures, premiers signaux d’alerte, sont pathogènes pour la santé humaine, l’impact de l’humidité sur la structure même du bâti est sans appel ; remontées capillaires, infiltrations d’eau, condensation, hygrométrie élevée et fuites multiples provoquent alors perte d’isolation thermique des murs, dégradation des matériaux, prolifération des champignons ou encore risques électriques.
Ainsi, 37% des logements français contiennent des traces de moisissures[10] engendrant une insalubrité des murs à même de compromettre la structure d’un bâtiment et son esthétique.
Des indicateurs forts sur lesquels alerte le groupe Muprotec, dont l’objectif principal est de préserver intégrité et valeur du bâti.
Une solution de traitement de l’air intérieur pour les particuliers et les professionnels
C’est donc avec la volonté de limiter à la fois les risques sanitaires et les menaces structurelles des bâtiments que le groupe Murprotec a développé un traitement définitif contre l’humidité et la pollution de l’air intérieur.
Avec sa chaîne de valeurs centralisée, de la R&D en laboratoire au traitement de la structure, Murprotec s’adresse, depuis 70 ans, aux propriétaires – particuliers et entreprises –, collectivités et professionnels du bâtiment.
L’objectif du Groupe est ainsi d’identifier, par un diagnostic précis réalisé par un expert Murprotec et une technologie de pointe, la cause de la dégradation et le bon traitement à appliquer pour répondre à sa devise : « un air sain dans un bâtiment sain ».
[1] ADEME – Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
[2] Organisation Mondiale de la Santé
[3] ADEME – Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
[4] ADEME – Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
[5] European Community Respiratory Health Survey II
[6] Acariens : « Epidémiologie des maladies allergiques respiratoires » – Traité d’allergologie 2003 et Allergies et air intérieur dans l’habitat individuel DDASS de La Gironde 2004
[7] ADEME – Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
[8] Le radon provoque 3.000 morts/an (source : ADEME)
[9] 100% des logements sont pollués au formaldéhyde, substance cancérogène avérée pour l’homme (source : ADEME)
[10] ADEME – Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
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