L'ancien président panaméen Ricardo Martinelli, accusé par le parquet d'avoir reçu des pots-de-vin du groupe brésilien de BTP Odebrecht pour l'adjudication de contrats a demandé mardi 20 septembre "qu'on (lui) coupe les couilles" si l'on démontre qu'il a touché "un sou".
Sélection de produits
À lire également
- Habitat insalubre à Marseille : procès requis pour le drame de la rue d'Aubagne
- Des milliers de manifestants contre un projet de golf dans les Pyrénées-Orientales
- JO-2028 : Los Angeles veut s'inspirer du village des athlètes de Paris
- La Chine clôt sa session parlementaire, dominée par les difficultés économiques
- Plainte à l'ONU contre la construction d'une centrale électrique en Guyane
- Stéphane Plaza placé sous contrôle judiciaire avant son procès pour violences conjugales
- Un vieil immeuble du centre de Toulouse s'effondre, pas de victimes recensées
- L'appartement parisien de Karl Lagerfeld aux enchères le 26 mars
Actualités populaires
- Le patronat étrille les économies du gouvernement sur la construction
- MaPrimeRénov' : le gouvernement entend le Bâtiment et reporte le recentrage sur les rénovations lourdes à 2025
- Marché de l’électricité : l’UFC-Que Choisir et la CLCV demandent au Gouvernement de revoir une copie déjà obsolète
- "Inciter au travail" nécessitera "des décisions difficiles", prévient Attal
Publi-rédactionnel
- Keplan : des pergolas innovantes à un prix abordable pour tous les besoins
- Nettoyer les bois extérieurs : les solutions dédiées Owatrol
- Sécurité sans compromis : VPSitex, votre partenaire 24/7 pour un gardiennage sur mesure avec agents, maîtres-chiens et rondiers !
- Hydro'Way, Eco'Urba, StabiWay et Baltazar... les solutions de revêtements de sols perméables de JDM Expert