![© Guillaume Bottazzi ADAGP Paris © Guillaume Bottazzi ADAGP Paris](/news/2024/07/26/paris-la-defense-un-tableau-gigantesque-de-guillaume-bottazzi-pour-accueillir-les-jeux-olympiques.jpg)
Ce tableau prolonge la sculpture de Richard Serra, décédé depuis peu, une confrontation étrange, chacune de ces deux œuvres aspirant à des univers singuliers.
Cette oeuvre a été labélisée par Paris 2024 pour l’Olympiade culturelle.
Le peintre, pionnier de la neuro-esthétique, nous dope avec son polyptyque de 144m2 en agissant chimiquement sur le public. Il contribue à nous rendre plus forts et plus heureux avec des courbes et des couleurs enjouées. Ce tableau devrait contribuer à nous mettre dans de bonnes dispositions. C’est un peu comme si vous preniez un médicament ou buviez une potion magique qui créent des effets sur votre système biologique après l’avoir regardé.
Guillaume Bottazzi a réalisé plus d’une centaine d’œuvres dans des espaces publics, en Asie et en Europe notamment et il vient de peindre ce polyptyque. C’est une vraie performance physique. A force de porter des pots de peinture pour réaliser ses travaux titanesques, l’artiste s’est sévèrement cassé le dos de manière irrémédiable mais le peintre est heureux de participer à accueillir les visiteurs de cet évènement mondial.
Faire le plein et se doper à l’art
Pour le plaisir des yeux, le public est invité à venir prendre ce bain de jouvence, il est maintenant de notoriété publique que les tableaux de Guillaume Bottazzi ont le pouvoir d’agir comme un médicament. La science prouve que ce polyptyque permet de prendre de la force en produisant chez l’observateur des effets chimiques. Cette oeuvre a été labélisée par Paris 2024 pour l’Olympiade culturelle.
Ce polyptyque dopaminé a le pouvoir d’agir comme un cachet, il rend plus heureux et plus fort. Il renforce notre capacité à vivre et à survivre dans les moments difficiles. Il produit de la dopamine, des neurotransmetteurs qui nous envoient des récompenses, appelés communément « hormone du plaisir immédiat ». Ce tableau produit aussi de la sérotonine, appelée communément « hormone du bonheur ». C’est une substance que l’on trouve dans les antidépresseurs et qui favorise la plasticité du cerveau d’après des chercheurs de l’université de Genève (UNIGE).
Il aide à lutter contre la dépression et réduit le sentiment de solitude. Il aide à prendre du recul sur le monde qui nous entoure. Il diminue notre anxiété et contribue à rendre plus élégant. Il rend plus sociable et contribue à faire le plein. Il permet de se doper à l’art un peu comme si vous consommiez de l’opium.
Le parcours artistique de Paris La Défense, le plus grand musée à ciel ouvert de France
Ce polyptyque de 144 m2 intègre le parcours artistique de Paris La Défense, le plus grand parcours artistique à ciel ouvert de France. Les plus grands artistes ont marqué le quartier d’affaires comme Alexander Calder, Richard Serra, Takis, Daniel Buren, Joan Miró et César. Le polyptyque de Guillaume Bottazzi est pérenne et restera après les Jeux Olympiques. Il est la propriété de Paris La défense et est visible de tous.
Une performance physique
Ayant réalisé, depuis plus de trente ans, plus de cent œuvres d’art dans des espaces publics, comme la plus grande peinture du Japon pour le Musée d’Art Miyanomori, et à force de porter des pots de peinture pour réaliser ses tableaux titanesques, le peintre s’est cassé le dos. Plus exactement ses nerfs sont compressés par ses os et ce, depuis des années. Il vit avec de sévères hernies discales qui ne l’ont jamais quittées. Le peintre est parfois contraint à rester allongé sans bouger. Cependant le peintre réitère avec ce tableau de 144m2 à Paris La Défense. Il utilise de fins pinceaux afin de réaliser des glacis à l’aide de fines couches transparentes sur un complexe rajouté et encadré.