Les résultats le montrent, la certification par QUALITEL, choisie par un grand nombre d'acteurs en France, est un levier important d'amélioration de la qualité réelle des logements et ainsi, de la qualité de vie des habitants.
Côté financier, elle contribue à réduire les délais de vente des programmes neufs et permet à leurs propriétaires de les revendre plus chers que leurs équivalents non certifiés.
L'intégralité des données est à retrouver dans une documentation dédiée, disponible dès aujourd'hui : « Les bénéfices concrets de la certification du logement ». Focus sur les principaux enseignements.
Les logements certifiés par QUALITEL sont 3 fois plus nombreux à être notés A (« de très bonne qualité ») dans l'échelle de mesure développée par l'Association[1]
Les efforts réalisés pour atteindre ce niveau de qualité supérieure sont directement perçus par les habitants de logements certifiés, qui accordent une note de satisfaction globale de 7,8/10 à leur habitat (contre 6,9/10 pour les habitants de logements non certifiés).
La certification : une plus-value démontrée pour la qualité de vie
Les études ont montré que la certification agit sur toutes les dimensions de la qualité du logement :
Elle augmente la part globale des logements notés A (de « très bonne qualité »), et ce, sur chacun des critères,
- Et, par extension, le nombre de personnes très satisfaites de leur habitat.
- La certification : un atout pour répondre aux défis du logement
Garantissant des logements adaptés aux enjeux de leur temps, la certification joue un rôle important dans les nouveaux grands défis sociétaux et environnementaux :
- Les logements certifiés contribuent à la transition énergétique :
- La consommation d'énergie y est moins élevée : 38% des logements certifiés de moins de 10 ans ont une consommation d'énergie notée A - « Très bonne qualité », contre 31% pour les non certifiés de moins de 10 ans.
- Les énergies renouvelables n'y sont pas en reste : 14% des logements collectifs certifiés, construits après 2015, sont équipés de panneaux photovoltaïques et 4% de panneaux solaires thermiques.[2]
- Ils facilitent le maintien à domicile des personnes à mobilité réduite. Les logements certifiés sont deux fois plus nombreux à être « très bien adaptés » aux personnes âgées/handicapées : 59% de ceux de moins de 10 ans sont notés A sur cet aspect, contre 33% pour leurs équivalents non certifiés.
Commercialisation et valeur immobilière : quels sont les bénéfices économiques de la certification ?
- Pour les professionnels du logement, des délais de vente plus rapides observés pour les programmes immobiliers neufs. QUALITEL a comparé[3] les ventes d'immeubles neufs réalisées à Lyon entre 2004 et 2018. Résultat : 72% des programmes certifiés ont été livrés avec tous les appartements vendus, contre 61% pour les non certifiés.
- Pour les propriétaires, une valeur immobilière accrue et la confirmation de la notion de valeur verte. Les logements certifiés se revendent plus chers que leurs équivalents non certifiés[4] :
- De 3,5% pour les logements construits entre 1975 et 1995, à 9,5% pour les logements construits entre 2005 et 2013.
- Les logements certifiés HQE atteignent quant à eux un prix supérieur de 13% à la revente.
- Dans les zones les plus « tendues » et les plus « denses », la différence peut atteindre jusqu'à 19%.
« La certification a toujours témoigné de la volonté des acteurs du logement de faire bouger les lignes face aux grands défis sociétaux et environnementaux. Et cela fonctionne, on le voit à travers les résultats de ces études : la certification tire effectivement la qualité de l'ensemble du parc de logements français vers le haut, avec des bénéfices concrets pour les professionnels, les habitants et la collectivité.
Plus que jamais, cet enjeu de la qualité doit rester l'un des principaux moteurs du secteur, a fortiori dans le difficile contexte de relance économique auquel il devra faire face dans les semaines et mois à venir. La crise du Covid-19 a profondément modifé la relation des Français à leur logement : entendons-les, répondons-leur... »
-Bertrand Delcambre - Président de l'Association QUALITEL
Intégralité des données et résultats disponible dans le dossier « Les bénéfices concrets de la certification du logement » disponible ici
[1] Enquête QUALITEL-IPSOS - 11 000 Français interrogés, 1 000 logements passés au crible, autour d'une centaine de critères.
Cela a permis de noter sur 10 la qualité réelle des logements français. Ces notes (Qualimètre) s'organisent en 4 catégories :
- A - « Très bonne qualité » : note supérieure à 7,8/10
- B - « Bonne qualité » : note comprise entre 7,1/10 et 7,8/10
- C - « Qualité passable » : note comprise entre 6,3/10 et 7,1/10
- D - « Mauvaise qualité » : note comprise entre 3,2/10 et 6,3/10
[2] Étude CERQUAL 2020 sur les tendances constructives.
[3] Étude menée par ADEQUATION en 2019, pour QUALITEL, sur la base de l'observatoire de la promotion immobilière, comparée à la base des programmes certifiés par CERQUAL sur la Métropole de Lyon pour des programmes livrés entre 2004 et 2018.
[4] Étude réalisée par Homadata, en 2019, pour QUALITEL, reposant sur le recroisement de plusieurs sources de données géolocalisées de référence, parmi lesquelles la base « Demande de Valeurs Foncières de la DGFIP », recensant l'ensemble des mutations enregistrées en France depuis 2014 et la base des opérations certifiées par CERQUAL Qualitel Certification.